Le pianiste Théo Fouchenneret est l’invité du Journal du Classique ce lundi 28 septembre, à l’occasion de la publication de son premier album solo.
Théo Fouchenneret rêvait de graver la 29ème Sonate de Beethoven
Révélé en 2018 lorsqu’il remporta le premier prix du Concours International de Genève, avant de figurer parmi les révélations des Victoires de la musique, le pianiste Théo Fouchenneret poursuit un beau parcours et nous livre, aujourd’hui, son premier album en solo, sous le label «La dolce volta ». C’est Beethoven qu’il a choisi de mettre à l’honneur, un compositeur avec lequel il entretient des liens très forts et avec lequel il tenait à faire ses débuts discographiques. Au programme : la Sonate n°21 dite « Waldstein » et la 29ème dite « Hammerklavier » qu’il rêvait de graver : « C’est une pièce monumentale, mais il y a une telle dimension physique que je me suis vraiment dit que c’était le genre d’œuvre qu’il fallait jouer jeune ! » confie-t-il dans la préface de son enregistrement. Il nous racontera justement ce soir ses affinités beethovéniennes.
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Cette publication s’accompagne de toute une série de concerts :
Le 29 septembre à Tours, dans le cadre des « Moments musicaux de Touraine » avec son frère, le violoniste Pierre Fouchenneret, dans des sonates de Schubert, Strauss et Franck.
Le 6 octobre à Poitiers, le 9 à Rochefort, le 10 à Capbreton et le 13 à Angoulême avec Pierre Fouchenneret, Astrig Siranossian et l’Orchestre de chambre Nouvelle Aquitaine sous la direction de Julien Leroy pour le triple concerto de Beethoven.
Le 31 octobre, au Théâtre des Bouffes du Nord dans le cadre du festival « La Dolce volta », avec Adrien la marca, pour un programme Beethoven, Prokofiev, Saint-Saëns et Berlioz.
Laure Mézan
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