La violoniste Geneviève Laurenceau est l’invitée ce lundi 17 février à 20 heures du « Journal du Classique » de Laure Mézan, à l’occasion de la publication du premier album de son ensemble «Smoking Joséphine».
C’est après avoir quitté l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, dont elle occupa pendant 10 ans le poste de violon solo, que Geneviève Laurenceau a décidé de « reconstruire une famille musicale » et de vivre une nouvelle aventure au féminin, s’associant à 4 autres brillantes musiciennes (la violoniste Olivia Hugues, l’altiste Marie Chilemme, la violoncelliste Hermine Horiot et la contrebassiste Laurène Durantel).
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Ainsi est né l’ensemble « Smoking Joséphine » dont on découvre aujourd’hui le premier album, chez Naïve. « On ressent une forme de liberté et beaucoup de force lorsqu’on se retrouve entre femmes » nous dit la violoniste qui se défend de toute forme de militantisme. Ici, c’est avant tout une profonde complicité et une sincère amitié qui unit ces 5 musiciennes, une envie de partager la musique de façon aussi intime que chaleureuse.
Elles ont choisi le thème de l’amour pour ce premier album, déclinant ainsi toute une palette d’expressions, entre tendresse, volupté, mélancolie et chagrin, jonglant avec les styles (d’Elgar à Bernstein en passant par Chopin, Liszt, Prokofiev ou de Falla) grâce aux remarquable transcriptions réalisées pour elles par Nicolas Worms et Fabien Touchard.
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« Amours, toujours » tel est donc le titre de ce programme qu’elles donneront également en concert le dimanche 1er mars à 11h, à la Seine musicale.
