La mezzo-soprano Lucile Richardot navigue avec bonheur du genre intime de la mélodie à celui de l’opéra

Crédits : Jean-François Robert

A l’occasion de la sortie de ses deux nouveaux albums dédiés aux sœurs Boulanger et à Alessandro Scarlatti, Lucile Richardot sera, ce lundi 13 mars à 20h, l’invitée du journal du classique.

 

Lucile Richardot chantera des mélodies de Nadia et Lili Boulanger lors d’un récital le 20 mars

Aussi à l’aise dans le répertoire baroque que dans le post romantisme ou la musique moderne, Lucile Richardot navigue, avec bonheur, d’un style à l’autre comme du genre intime de la mélodie à celui de l’opéra. Alors qu’elle participe en ce moment au formidable diptyque Le Rossignol / Les Mamelles de Tirésias au Théâtre des Champs-Elysées (que nous avons évoqué la semaine dernière avec Olivier Py et Sabine Devieilhe), la mezzo-soprano s’est confié à notre micro sur ses deux nouveaux enregistrements qui viennent de paraître, chez Harmonia Mundi et Audax, à travers lesquels s’exprime justement, la diversité de ses univers musicaux : d’un côté les mélodies de Nadia et Lili Boulanger enregistrées avec la pianiste Anne de Fornel et quelques complices, parmi lesquels Raquel Camarinha et Stéphane Degout ; de l’autre côté, des cantates de chambre d’Alessandro Scarlatti en compagnie du claveciniste Philippe Grisvard.

 

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Lucile Richardot chantera un florilège de mélodies de Nadia et Lili Boulanger dans le cadre du récital qu’elle partagera avec Anne de Fornel 20 mars à l’Amphithéâtre de la Cité de la musique à Paris, le lendemain de la dernière représentation du spectacle au Théâtre des Champs Elysées dans lequel elle incarne le personnage de la Mort puis celui d’une marchande de journaux.

Laure Mézan

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