La presse se penche aujourd’hui sur les métiers cachés de Roland Garros, des jobs insoupçonnés. On ne parle pas de ramasseurs de balles, hôtesses d’accueil, arbitres ou masseurs, mais des métiers rares. Ce papier édifiant est à lire aujourd’hui dans Libération.
Fauconnier, artiste-plasticienne, voix : les métiers rares de Roland Garros
Libération nous dévoile le travail de Virginie Dollat, artiste plasticienne depuis 23 ans, elle trace à la main sur un tableau au feutre blanc le nom des 265 joueuses et joueurs qui s’affrontent durant le tournoi. Un peu comme le menu s’affiche sur l’ardoise d’un restaurant. Son job fascine notamment les enfants, ils ne sont plus habitués à voir écrire quelqu’un à la main, autant de choses sans aucune rature.
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A Roland Garros, vous avez également un fauconnier, Ludwig Verschatse, son faucon s’appelle Chuck et vous savez à quoi il sert ? A faire peur aux pigeons pour éviter d’en avoir sur les cours, ou qu’ils fassent une fiente sur l’épaule d’un joueur. Un dernier métier c’est la voix, la voix des tribunes, Marc Maury annonce le pedigree des joueurs, les met en valeur en les interviewant après le match, ca fait 17 ans qu’il est là pour chauffer le stade quand les joueurs arrivent.
David Abiker