Natalophobie : vous découvrirez ce mot dans Le Parisien-Aujourd’hui en France et dans Santé magazine. Le natalophobe c’est celui ou celle qui n’aime pas Noël. Pour ceux-là, la crise sanitaire a été l’occasion d’échapper à la corvée des courses et des réunions de familles.
Noël : Les vieux conflits familiaux peuvent ressurgir
Le Parisien-Aujourd’hui en France a interrogé Roger Fiammetti, un ostéopathe auteur d’un livre sur le sujet. Il a publié « Les angoissés de Noël » (éditions Guy Trédaniel). Pour lui les natalophobes se répartissent en 3 catégories : ceux qui détestent le côté obligatoire de la fête, ceux qui n’ont pas les moyens de la fêter et ceux qui se retrouvent en bout de table et se sentent exclus. Le praticien va jusqu’à réclamer des consultations gratuites labellisée post-fêtes. Et pourquoi pas un fonds d’indemnisation tant qu’on y est ? Mais l’ostéopathe ne suffit pas, pour Dominique Picard, psychosociologue également consultée par le journal, Noël est un vernis sous lequel craquent la réalité des relations familiales, ou ressurgissent les vieux conflits et s’exprime le refus de faire semblant d’être heureux comme tout le monde. Bref, pour tous ceux-là, le Covid-19 a été une bonne raison de rester à l’écart.
David Abiker