Carlos Kleiber avait pour habitude de prolonger les applaudissements du public par une astuce, dont il ne faut pas trop abuser !
Perfectionniste dans l’âme, Carlos Kleiber multipliait les répétitions
La direction d’orchestre est une chose, le chef d’orchestre est une autre chose et les conseils de grands chefs encore autre chose… Seiji Ozawa, qui a reçu ceux des plus grands, de Charles Munch à Léonard Bernstein ou Karajan, se souvient surtout de celui de Carlos Kleiber.
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Il consistait à conserver pendant plusieurs secondes les bras levés à la fin d’une symphonie…pour retarder les bravos ! Pas trop longtemps quand même, sinon les musiciens rentrent chez eux et le public aussi.
Christian Morin