Joe Biden veut Michelle Obama comme vice-présidente, s’il gagne face à Donald Trump

Michelle Obama revient dans le jeu politique. Joe Biden, candidat désigné par les primaires démocrates, a déclaré vouloir de l’ancienne First Lady comme vice-présidente s’il est élu. L’intéressée multiplie depuis quelques jours les initiatives politiques.

Michelle Obama appelée par le maire de Washington à préparer le déconfinement de la ville

C’est une véritable tempête politique que le candidat officiel du parti démocrate, Joe Biden, vient de déclencher. Lundi soir, il accorde à nos confrères de Pittsburg, la chaine KDKA, une interview. Il déclare : « elle est brillante. Sans hésitation, j’aimerais l’avoir comme vice-présidente ». A la surprise générale, Joe Biden parle de Michelle Obama. Depuis 24 heures, l’équipe Obama doit gérer une avalanche de questions.

 

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Les spin-docteurs précisent comme Joe Biden qu’ils ne pensent pas que la First Lady souhaite revenir à Washington. Mais au-delà de ce bla-bla bien pratiqué, il y a les faits. Déjà, Michelle Obama vit toujours à Washington et aussi, depuis lundi, elle revient en politique. Michelle Obama a en effet accepté l’invitation de la maire de la ville, Muriel Bowser, à réfléchir au déconfinement de la capitale après le 15 mai prochain.

 

 

Des messages téléphoniques enregistrés par Michelle Obama à l’attention des habitants de la capitale

Alors, elle a sans hésitation constitué à l’intérieur de la mairie son équipe. On y trouve Susan Rice, ancienne conseillère de la Maison-Blanche, très importante, Michael Chertoff, ancien ministre de l’Intérieur de Barack Obama. Michelle Obama, selon nos informations, enregistre déjà des messages téléphoniques pour la population de Washington, disant de respecter les distances de sécurité et de se faire tester.

 

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Alors en politique, il y a les communiqués, les déclarations et puis les faits. A Washington, le clan va donc au niveau local gérer le déconfinement et imposer ses décisions, avec à quelques mètres de là, la Maison-Blanche de Donald Trump.

 

Laurence Haïm

 

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