À Pâques, ne ratez pas votre rendez-vous avec Ô mon bel inconnu de Reynaldo Hahn !

Du 7 au 16 avril, le Palazzetto Bru Zane vous invite à découvrir une effervescente comédie musicale des années 30 à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet !

Rêve d’aventures, rendez-vous à l’aveugle et élégance des années 30 sont les ingrédients de cette comédie musicale hilarante, seconde collaboration lyrique de Sacha Guitry et Reynaldo Hahn, après Mozart (1925).
Le compositeur connaît alors une célébrité méritée dans les genres lyriques légers : depuis Ciboulette (1923), il multiplie les succès sur les théâtres secondaires parisiens (Le Temps d’aimer, Une revue, Brummel) qu’Ô mon bel inconnu ne dément pas. Le Figaro y retrouve « l’élégance du ton et la distinction de la forme » propre au Hahn de l’entre-deux-guerres tout en voyant en lui le successeur légitime d’André Messager. Le Ménestrel s’enthousiasme également : « La musique de M. Reynaldo Hahn s’identifie au sujet avec une souplesse et une sureté de touche qui tiennent du miracle. Elle témoigne d’une distinction, d’un tact incomparable, et en même temps d’une verve qui n’exclut pas l’émotion. Elle se rehausse d’une orchestration alerte, mordante et transparente à la fois. »

Des intrigues amoureuses esprit Années Folles

Le chapelier Prosper Aubertin, insatisfait du train-train de sa vie bourgeoise, rêve d’aventures… extraconjugales. Il est néanmoins contrarié de trouver, parmi les réponses à l’annonce anonyme qu’il a fait paraître dans le courrier du cœur, des propositions venant de sa femme, de sa fille et de sa bonne. Afin de tirer au clair les envies de chacune, il les invite toutes dans une villa du sud de la France. « C’est une tragédie bourgeoise. Cette tragédie aurait pu s’appeler Connais-toi toi-même, elle aurait pu finir très mal. Au moment de l’écrire en vers alexandrins et de l’offrir à la Comédie-Française, j’ai réfléchi pendant une dizaine de minutes… et j’en ai fait une comédie », plaisantait Sacha Guitry.

Cette comédie musicale est la seconde collaboration lyrique de l’auteur avec Reynaldo Hahn, après Mozart (1925). Le compositeur connaît alors une célébrité méritée dans les genres lyriques légers : depuis Ciboulette (1923), il multiplie les succès sur les théâtres secondaires parisiens (Le Temps d’aimer, Une Revue, Brummel) qu’Ô mon bel inconnu ne dément pas. Le Figaro y retrouve « l’élégance du ton et la distinction de la forme » propre au Hahn de l’entre-deux-guerres tout en voyant en lui le successeur légitime d’André Messager. Le Ménestrel s’enthousiasme également : « La musique de M. Reynaldo Hahn s’identifie au sujet avec une souplesse et une sureté de touche qui tiennent du miracle. Elle témoigne d’une distinction, d’un tact incomparables, et en même temps d’une verve qui n’exclut pas l’émotion. Elle se rehausse d’une orchestration alerte, mordante et transparente à la fois. » Qu’est-ce qu’il faut [de plus] pour être heureux ? Une distribution parfaite lors de la création : menée par Jean Aquistapace et pimentée par Arletty dans le rôle de Félicie.

Ô mon bel inconnu revient à Paris

C’est sur une idée du Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française basé à Venise qu’Ô mon bel inconnu est de retour sur scène, du 7 au 16 avril, à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet. Émeline Bayart assure la mise en scène et cherche sous la doublure des chapeaux ce qui distingue un amour idéal d’un amour idéalisé. Retrouvez-la sur scène dans le rôle de Félicie – la bonne – tenu lors de la création par Arletty. Le chef Samuel Jean fait quant à lui pétiller la musique de Reynaldo Hahn, aussi légère et attirante qu’un bel inconnu.

Retrouvez la vidéo du spectacle : https://youtu.be/u5tAL43NbJc

Plus d’infos sur BRU-ZANE.COM

Réservations https://athenee-theatre.notre-billetterie.com/billets?kld=2223&spec=780