Les affiches d’Alphonse Mucha restent dans nos esprits un symbole du Paris 1900. Mais le peintre fut aussi un défenseur du peuple tchèque. Guy Boyer revient sur la vie de l’artiste, à l’occasion de la rétrospective qui se tient au Musée du Luxembourg à Paris jusqu’au 27 janvier.
Samedi 29 septembre : Mucha (1)
1) Offenbach : « Il était une fois » extrait des Contes d’Hoffmann (R. Villazón, Orchestre de la Radio de Munich, dir. M. Plasson)
2) Richard Strauss : Final du Concerto pour cor (G. Seifert, Orchestre Philharmonique de Berlin, dir. Z. Mehta)
3) Puccini : « Vissi d’arte », extrait de Tosca (A. Gheorghiu, Orchestre de l’Opéra Royal de Covent Garden, dir. A. Pappano)
4) Chausson : Final du Trio avec piano (Trio Spiller)
5) Debussy : Danse profane (A. Gaudemard, Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie, dir. L. Hussain)
6) Cherubini : « Dei tuo figli la madre », extrait de Médée (M. Callas, Orchestre de la Scala de Milan, dir. T. Serafin)
7) Fauré : Sicilienne de Pelléas et Mélisande (Orchestre Symphonique Allemand de Berlin, dir. R. Ticciati)
8) Debussy : Prélude « La Fille aux cheveux de lin » (P. Bianconi)
9) Roussel : Prélude du Festin de l’Araignée (Orchestre National de France, dir. G. Prêtres)
Samedi 6 octobre : Mucha (2)
1) Monti : Czardas (M. Vengerov, Ensemble Virtuosi)
2) Dvořák : « Larghetto » de la Sérénade pour cordes (Academy of St. Martin-in-the-fields, dir. Sir N. Marriner)
3) Mendelssohn : Ouverture de La Première Nuit de Walpurgis (Orchestre d’Etat de Bavière, dir. K. Nagano)
4) Janacek : « Celadensky » des Danses de Lachie (Orchestre Philharmonique de Munich, dir. K. Tennstedt)
5) Dvořák : “Chanson que m’enseigna ma mère”, arrangé pour violon et orchestre (J. Bell, Academy of St. Martin-in-the-fields, M. Stern)
6) Thème des Lautarii, arrangement de Cyrille Lehn d’après un air traditionnel (Sirba Octet, Orchestre Philharmonique de Liège, dir. C. Arming)
7) Kodály : Chœur « La Procession de Saint-Grégoire » (Chœur d’enfants Magnificat, dir. I. Fischer)
8) Smetana : Polka pour piano (A. Schiff)
9) Dvořák : Pièce romantique n°4 (R. Capuçon, K. Buniatishvili)