Thierry Lhermitte, chassez le naturel…

Il revient sitôt que notre Popeye des Bronzés se retrouve sur des planches ou devant une caméra. Le grand escogriffe a conservé cet air de ne pas y toucher, cette faculté d’avoir toujours l’air de passage dans un rôle, d’effleurer son sujet sans avoir travaillé… Et en fait, lorsqu’on y regarde de plus près, cet art d' »être » et non pas de « jouer ». Avec modestie, et sans long discours, il possède ce que tous les acteurs cherchent souvent. Ce naturel qui le rend si populaire et si juste.

Voici son programme :

– Mendelssohn, Quatuor n°2
– Bach, Suite pour violoncelle n°2 en ré mineur
– Brahms, Symphonie n°3, 3ème mouvement
– Donizetti, L’Elixir d’amour, « Una furtiva lagrima » par Caruso

3 musiques « Madeleines » :

– Simon and Garfunkel, « The Sound of Silence »
– Caetano Veloso, « Cucurucucu Paloma »
– Grieg, Peer Gynt, « Chanson de Solveig »