Isabelle Aubret, soeur Courage

Il y a eu soeur Sourire, et il y a soeur Courage. Jean-Ferrat la considérait comme sa petite soeur et elle a quelque chose d’une sainte laïque, d’une religieuse de la République. Isabelle Aubret fut de tous les combats, la faculté d’indignation est sa force. Quant à la poésie, c’est son petit coin de ciel bleu qui l’aide à trouver de quoi s’enthousiasmer dans la vie.
Voici son programme :
La valse triste de SIbelius par Herbert von Karajan
– Czardas de Monti par Yehudi Menuhin
– La symphonie n°1 en ré majeur de Mahler Seiji Ozawa
– Le concerto n°1 de Tchaikovsky par Vladimir Horowitz
et
– Nuit et brouillard par Jean Ferrat
– Nous deux par Léo Ferré
– Un jour un jour par Isabelle Aubret