Il agace et il le sait. Il n’a rien trouvé de mieux que d’écrire dangereusement pour se faire pardonner ses pitreries. Le risque paie, car son Oona et Salinger est épatant. Un hymne à l’amour, à la littérature et à l’amour de la littérature.
Voici son programme :
Classiques :
-Couperin pièces pour clavecin Les vieux seigneurs
-Richard Wagner Tristan et Yseult ouverture
-Monteverdi Vêpres à la vierge marie ouverture
-Leonard Bernstein « The young person’s Guide to the Orchestra » (in Moonrise Kingdom)
Madeleines :
-Camille Saint Saens Aquarium (musique du festival de Cannes)
-Erik Satie gnossienne n°1 (musique du Feu follet)
-Bubak and hungaricus (danse dans Amadeus)