Comme dans toutes les histoires d’amour, la rencontre de Franck Ferrand et de Versailles s’est soldée par un échec. Déception, rejet, rendez-vous manqué, agacement. Versailles ne se livre pas au premier venu. Il se mérite. La passion est née peu à peu.
Dans son Dictionnaire amoureux consacré au symbole universel de la grandeur française, il ne laisse rien au hasard. L’historien nous livre ses analyses avec subjectivité, il fait revivre une histoire qui se continue.
Voici son programme :
– « Erbarme dich, mein Gott » de la Passion selon saint Matthieu de Bach (Gustav Leonhardt)
– Sonate pour violon et piano N° 5 de Beethoven : « Le Printemps », 1er mouvement (Corey Cerovsek, Paavali Jumppanen)
– Concerto N° 1 de Chopin (Artur Rubinstein)
– « Isoldes Liebestod » de Wagner (Jessye Norman, Karajan à Salzbourg en 1987)
– « Méditation de Thaïs » de Massenet (David Chan au Met) (version Decca avec Renee Fleming)
Petites madeleines :
– Air des Bijoux du Faust de Gounod (Victoria de Los Angeles, André Cluytens en 1959)
– « Freischütz » de Weber (Carlos Kleiber)
– « J’ai ta main » par Charles Trenet au Chatelet en 1988