Enrico Macias, roi de coeur

1. Le plus court chemin d’un coeur à un autre passe par la Méditerranée, même si ce n’est pas le plus facile. Enrico Macias n’a pas forcément un jeu évident en main, mais il pose les mêmes cartes sans tricher.

2. Semaine endeuillée par le départ d’Alain Decaux qui était venu nous parler d’Alexandre Dumas et de Jean-Pierre Coffe, habitué de Passion Classique, auquel j’ai envoyé un petit message personnel, ici :

 http://www.huffingtonpost.fr/olivier-bellamy/requiem-pour-un-coffe_b_9577996.html

Voici le programme d’Enrico :

– Vivaldi, Les Quatre saisons, « Le Printemps », N. Radulovic (violon)
– Berlioz, Marche hongroise de la Damnation de Faust, G. Prêtre (dir.) et l’Orchestre de Paris

Les Madeleines:

– Jacques Brel, « Ne me quitte pas »
– Edith Piaf, « L’Hymne à l’amour »
– Charles Aznavour, « Je me voyais déjà »