Carole Martinez, il n’y a pas que la terre qui penche…

… les têtes aussi. What did you expect ? Les têtes des animateurs et journalistes de Radio Classique sur les pas de Carole Martinez qui est une belle femme, vive, spontanée, nature et enjouée. Et pourtant, elle crevait de trouille, m’a-t-elle dit à la fin. Le trac la rongeait depuis la veille. Mais ça ne s’est pas senti. C’est Alain Duault qui, lors des Masters de Monaco où nous nous sommes retrouvés, m’a parlé de son livre avec enthousiasme. De retour à Paris, je me suis plongé dans le flot de sa prose poétique et j’ai profité d’une case qui se libérait pour l’inviter à chaud.

Voici son programme :

Classiques :

– « Puisqu’en oubli » de Guillaume de Machaut (dans Le vray remède d’amour), par Dominique Vellard
– « Nunc aperuit nobis » de Hildegard von Bingen, chanté par Barbara Thornton
– « Dôme épais le jasmin à la rose s’assemble » ou « Duo des fleurs » de Delibes (dans Lakmé), par Natalie Dessay
– 3ème mouvement (Allegro) du Concerto pour trompette et orchestre n°2 en ré mineur d’Albinoni

Les madeleines :

– Jacques Higelin, « Tête en l’air »
– Janis Joplin, « Summertime »
– Claire Diterzi, « Renaissance » (dans Le Salon des Refusées)