Quand j’étais adolescent, Simone Signoret était mon actrice préférée. Jeune ou vieille, belle ou laide, mince ou grosse, je m’en fichais. Pour moi, c’était un génie, point barre, et je l’aimais. C’est évidemment troublant de retrouver des expressions de la mère chez la fille qui a dû avoir une enfance passionnante mais pas toujours facile. Et qui a su forger sa personnalité et développer son propre talent malgré les embûches. Elle est touchante, Catherine Allégret. On ne la voit pas assez souvent, alors on peut la lire. Ou l’écouter.
Voici son programme :
PETITES MADELEINES :
• Chorus line, Opening « I Hope I Get It »
• Don Carlo, « Dio, che nell’alma infodere », Verdi – Carlo Bergonzi et Dietrich Fischer-Dieskau
• « Live » at the London Palladium, « Hello Dolly », Judy Garland et Liza Minelli
CLASSIQUES :
• Vivaldi, Les Quatre Saisons, 3ème mouvement « L’Eté », Presto – Amandine Beyer e gli Inconiti
• Verdi, Requiem, « Kyrie »- Jonas Kaufman et Anja Harteros (Barenboim et la Scala de Milan)
• Mendelssohn, « I would that my love » n°1 op. 63 – Kathleen Ferrier
• Verdi, Aïda, Acte IV « O terra addio » – Jonas Kaufman et Anja Harteros (direction Antonio Pappano)